C’est désormais une certitude. Il y aura bien un marché de Noël bisontin cette année. Il s’installera du 26 novembre au 24 décembre Promenade Granvelle. Le public pourra profiter du Bistrot de Noël, des 35 chalets d’exposants et du chapiteau Répar’Acteurs, en collaboration avec la Chambre de Métiers et de l’Artisanat. Par ailleurs, jusqu’au 2 janvier, 25 chalets d’exposants et le chapiteau du Marché Solidaire de Noël seront installés sur la place de la Révolution.
Le Docteur Frédéric Péchier a tenté de mettre fin à ses jours dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre. Il s’est jeté d’une fenêtre au domicile de ses parents, dans la banlieue de Poitiers. Il est placé sous contrôle judiciaire, depuis 2019, à cet endroit.
Rappelons que l’anesthésiste bisontin a été mis en examen pour 24 empoisonnements de patients, dont neuf mortels. Il est soupçonné d’avoir pollué les poches de perfusion de personnes hospitalisées, âgées de 4 à 80 ans, provoquant « des évènements indésirables graves ». Le spécialiste intervenait ensuite pour sauver les victimes.
Frédéric Péchier se trouve actuellement en service de réanimation à l’hôpital de Poitiers, où son état est jugé « stationnaire », selon un de ses avocats.
Alors qu’une petite tension a été constatée en début de cortège entre les composantes de l’intersyndicale – la CGT ayant décidé de prendre le départ plus tôt que les autres – environ 600 personnes se sont rassemblées ce matin à Besançon pour les salaires, l’emploi, les conditions de travail et les études.

Plusieurs syndicats sont présents. Ils représentent majoritairement la fonction publique. Dans le cortège, les domaines de la santé et de l’éducation sont majoritairement représentés. Les retraités ont également fait le déplacement. Les banderoles déployées appellent majoritairement « à une augmentation des salaires et des retraites ». « La première violence, c’est la pauvreté. Les casseurs sont à l’Elysée » pouvait-on lire également. Les manifestants se sont rendus devant la préfecture.

Une journée nationale de mobilisation des sages-femmes se tiendra ce jeudi 7 octobre. Elles réclament davantage de reconnaissance. Les sages-femmes de Bourgogne Franche-Comté devraient être nombreuses à se rendre à Paris. Elles seront accompagnées d’étudiants en formation de Besançon et Dijon. Un rassemblement est prévu à Paris devant le Ministère des Solidarités et de la Santé. Huit organisations professionnelles appellent une nouvelle fois encore à la grève. Cette action fait suite à celle menée les 24, 25 et 26 septembre derniers.
Un grave accident de la route s’est produit hier soir Avenue Edgar Faure à Besançon. Deux voitures sont impliquées. On déplore quatre blessés. Deux femmes, âgées de 19 et 24 ans étaient piégées dans leur voiture. La seconde est plus grièvement touchée. Dans le second véhicule, deux jeunes hommes, âgés de 21 et 24 ans, présentent des blessures légères. Les victimes ont été dirigées sur le centre hospitalier de Besançon.
Un grave accident de la route s’est produit hier soir place Battant à Besançon. On déplore quatre blessés.
Hier, vers 16h, les sapeurs-pompiers sont intervenus à Chouzelot, pour un feu de hangar d’environ 700 m2, contenant du fourrage, du matériel agricole et une voiture. A l’arrivée des secours, la bâtisse s’était totalement embrasée. A l’aide d’une lance, les secours sont parvenus à protéger la maison d’habitation située à proximité. Une surveillance des lieux a été assurée cette nuit par les soldats du feu.
Un couple, âgé de 24 et 21 ans, s’est vu remettre une convocation pour s’expliquer le 13 janvier prochain devant la justice. Le commissariat de police de Besançon a été saisi par le parquet de Dijon suite à une plainte émanant d’un gérant d’une station-service de Dijon à la suite d’un rejet de chèque. Les investigations ont permis d’établir que l’homme et la femme avaient émis 17 chèques en provenance d’un compte clos depuis 2019 appartenant à cette dernière. Le montant total des dépenses s’élevait à près de 3.200 euros pour de l’hôtellerie, de la restauration et du carburant. Ils ont été placés en garde à vue.